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A savoir

La Slackline est la tendance à tester pour se sentir bien dans ses baskets

La gym, la danse, la fitness, la zumba : quel est le seul point négatif de tous ces sports ? Ils se pratiquent dans une salle sous la forme de cours, parfois chers. On peut pratiquer la Slackline n’importe où, tant que l’environnement est naturel. Pour apprendre, pas besoin de payer, vous pouvez demander un cours d’initiation à BeSlack.

Qu’est-ce que la Slackline ?

En anglais «slack» qualifie une corde de détendue, «be slacking» signifie se relâcher, se laisser aller. La Slackline est une pratique méditative qui procure un bien-être mental et physique.

Qui pratique la Slackline ?

Tout le monde peut pratiquer la Slackline. Il suffit d’avoir «un minium de condition physique», explique Florian Castagne, le président de l’association BeSlack. Les membres de cette Association, exercent des métiers de tous types : médecin, vendeur d’équipement de randonné, ingénieur en électronique, étudiant en géologie, etc. Lorsque l’on est débutant, on progresse très vite au sein de cette activité.

Où se pratique la Slackline ?

À Bruxelles, différents lieux sont connus des «Slackliners» : le parc du cinquantenaire ou le bois de la Cambre par exemple. À Liège, BeSlack a ouvert une salle et les amateurs se retrouvent souvent au parc de la Boverie. À Charleroi, c’est plutôt dans le parc Astride que ça se passe. Parfois les «slackliners» se retrouvent à la citadelle de Namur. Pour plus de sensation, il est possible de marcher sur une sangle entre deux falaises, avec une vue à couper le souffle.

Les «slackliners» sont très soucieux de l’environnement. Quand ils préparent leurs matériels (de randonné), ils protègent toujours les arbres d’un tissu avant d’y poser la sangle.

Quelles sont les vertus de la Slackline ?

Cette pratique apporte un bien-être intérieur et physique. C’est une activité de méditation pour certains, et sportive pour d’autres. Dans tous les cas, elle permet de faire de nouvelles rencontres.

Il est possible d’effectuer des figures sur la sangle. Cela peut donc très vite devenir de l’art pour lequel il est nécessaire d’avoir une bonne condition physique. Tenir sur une sangle mobile c’est forcer sur ses muscles.

Tout le travail est dans le regard. L’idée est de ne pas quitter un bout ou l’autre du parcours des yeux. Aussi, il ne faut pas enlever le talon de la corde. Dans le cas contraire, il s’agit d’une recherche volontaire de difficulté.

Quelle est la principale difficulté de la Slackline?

«En fait ce n’est pas la hauteur qui fait le plus peur» explique Florian. «Plus la sangle est longue, plus c’est impressionnant», ajoute-t-il. Ce jour-là, lui, Tom, et Nicolas pratiquent la Slackline au bois de la Cambre, sur une longueur de 60 mètres. Plus la distance est longue, plus la sangle descend et se rapproche du sol. C’est pour cette raison que plus la longueur est importante, plus la sangle doit être placée en hauteur.

Lorsque l’on fait de la Slackline, on ne doit penser et voir rien d’autre que la sangle et les deux bouts du chemin. Lorsque l’on est stressé ou tendu, c’est donc une bonne manière de ne penser à rien, de se détendre.

Avez-vous envie de tester la Slackline, cette pratique en vogue ?

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