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A savoir

Les Belges ne croient pas aux superstitions

Croiser un chat noir, briser un miroir, ouvrir un parapluie à l’intérieur,…  n’ont pas l’air d’effrayer les Belges! En effet, une étude réalisée par iVox et RTL.BE montre que seulement 27,1% des Belges sont superstitieux.

Les femmes semblent plus influencées par ces croyances que les hommes vu qu’elles sont 30,9% à avoir répondu « oui »à la question « Etes-vous superstitieux » contre 23,2% pour les hommes. Ce phénomène toucherait également plus les jeunes puisque chez les moins de 29 ans ils sont 32,1 % à avouer être superstitieux contre 28,6% pour les 30-49 ans et seulement 22,4% chez les plus de 50 ans.

Vous jurez ne pas être superstitieux? Touchez du bois! 

Si dans les sondages peu de personnes se disent superstitieuses, on remarque que toutes ont quand même quelques croyances enfuies en elles! En effet, on a tous déjà foncé chez son libraire un vendredi 13 pour tenter sa chance au lotto, on a tous déjà essayé d’éviter la place No 13 dans un avion et on a déjà tous essayé d’éviter de passer sous échelle en rue. Un sondage réalisé en France a montré que si les 2/3 des Français ne s’avouaient pas superstitieux, 56% reconnaissaient quand même toucher du bois pour conjurer un sort! 53% croient aussi au porte-bonheur tels que le trèfle à 4 feuilles ou le fer à cheval devant sa porte.

A quoi servent les superstitions? 

De tout temps, l’homme a entretenu ces croyances et pratiques irrationnelles. Et si elles existent c’est avant tout pour nous rassurer! On croise les doigts ou on touche du bois quand on veut conjurer un sort, on accuse la pleine lune pour une nuit d’insomnie,… les superstitions permettent donc d’expliquer un événement illogique ou qui ne relève que du hasard.

Quand superstitions riment avec obsession 

Certaines personnes peuvent tomber dans un état de superstition totalement démesuré. Des événements insignifiants pour la plupart des gens deviennent chez eux pathologiques. Le superstitieux se sent alors en défi perpétuel avec le monde qui l’entoure et il passe son temps à  vérifier  que les augures lui sont favorables. Par exemple compter les carreaux d’un parquet, pariant avec lui-même qu’il doit y en avoir un nombre pair (ou impair), se créant ainsi des angoisses si le résultat obtenu ne correspond pas à son souhait. Alors si vous ne voulez pas en arriver là sortez vite vos pattes de lapin, fers à cheval et trèfles à 4 feuilles pour vous porter bonheur…

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