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A savoir

Les (mauvaises) raisons de procrastiner

Parce qu’on est paresseuse

On n’a pas envie d’appeler les impôts, on préfère de loin rester calée devant sa télé à regarder sa série préférée ! Souvent, on remet au lendemain des corvées qui nous ennuient et qu’on préfère remplacer par une activité plus agréable. Le raisonnement est classique : un plaisir immédiat nous botte plus que l’hypothétique satisfaction d’une mission accomplie !

Parce qu’on a du temps devant nous

On croit avoir une autoroute de temps libre ces prochaines semaines pour se poser tranquillement et réaliser la liste des choses que l’on reporte tout le temps. Problème, bien souvent on surestime nos capacités à gérer notre temps et notre temps de travail. Et le moment venu, on reporte de nouveau. Un cercle vicieux qui peut durer… toute une vie !
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Parce qu’on redoute la frustration

Pas sûr que si on va voir sa nutritionniste on apprécie ce qu’elle ait à nous dire. « Vous mangez mal » ou « vous devez arrêter tous les sucres ». Aie. Plutôt que se heurter à une frustration éventuelle, on préfère opter pour une stratégie d’évitement (ça fait moins mal).

Parce qu’on est perfectionniste

La concrétisation de ce projet nous interroge : va-t-il aboutir favorablement ? Dans ces cas-là, une petite voix prend un malin plaisir à chatouiller notre conscience, nous faisant penser au pire : « et si j’échoue lamentablement ? »

La peur d’être jugée et de l’échec nous retiennent comme un toutou devant un os. On se dit qu’au moins, si on n’agit pas tout de suite, on se préserve et on ne risque pas d’altérer notre cote de confiance.

Parce qu’on a peur du regard des autres

Dans la droite ligne de ce perfectionnisme à outrance, la procrastination repose parfois sur de nombreuses peurs, peu ou prou avouées. Si on fait ça, on craint d’être jugé, de ne pas aimer ou d’être rejeté… Plutôt que de se mettre en insécurité on préfère garder le contrôle en restant sagement assise dans notre périmètre de confort. Ça semble plus douillet.

Parce que cela nous paralyse

C’est simple, cette tache nous paralyse comme un lapin blanc devant les phares d’une voiture. Là aussi, la peur prend le dessus. Plutôt que de se battre ou de fuir devant cette situation inconnue, on préfère le statut quo. Pas de réaction vaut mieux qu’une mauvaise réaction, pense-t-on à tort.

Parce qu’on surinterprète

On doit faire une demande par mail auprès de notre supérieur mais on est persuadée que celui-ci ne va pas nous répondre… Voilà un exemple typique de conclusion hâtive que l’on tire à partir de détails qui ne veulent rien dire (notre boss est toujours occupé) voire tronqués (notre boss ne nous aime pas). Et si on arrêtait de préjuger négativement des choses ? Allez, on prend son courage à deux mains et on ose !

Moralité, si on dégaine souvent l’un de ces jokers pour procrastiner, pas la peine de culpabiliser ! On relâche la pression et on prend du recul. La prise de conscience de ce comportement et l’envie de changer constituent une première étape vers l’action anti-procrastination.

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